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Recherche par auteur : Delerm, Philippe

26 résultats. Page 2 sur 2.

Lu par:Manon
Durée:1h. 23min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:30512
Résumé: Sans doute, ce nouveau recueil est-il particulièrement "solaire", invités que nous sommes à goûter au plaisir transgressif du mojito, à se faire surprendre par une averse, à tremper nos lèvres dans la perfection transparente de la pastèque... Mais chez Philippe Delerm, le soleil ne va jamais sans pluie, et le bonheur sans mélancolie. Grand lecteur de Jules Renard, l'auteur le cite en exergue : "Le vrai bonheur serait de se souvenir du présent". Ce présent qui ne cesse de s'échapper, bien sûr, et dont nous avons déjà la nostalgie alors même que nous le vivons. Voici quelques exemples de ces textes. "Tendre est la vie cruelle" : sur l'amour fragile de deux personnes qui, à près de 60 ans, ont plus de passé que d'avenir à vivre ensemble, mais qu'un baiser volé va rappeler à leur adolescence. "On ne peut pas être plus près, plus chauds, plus confondus. Et pourtant c'est le fragile qu'on sent." Le bonheur de "Danser sans savoir danser" : on n'a jamais été de ceux qui fréquentent les boîtes de nuit. On admirait ceux qui, sur les pistes de danse, évoluaient si facilement. Mais un jour, à un mariage, "on choisit de danser. Danser, c'est un grand mot. On bouge comme un ours. Mais ce n'est pas grave. On a passé l'âge des susceptibilités. Chance, ça commence par un twist. On peut jouer son insuffisance au deuxième degré, en pliant les genoux, avec un mouvement de bras qui ne donne pas le change, mais semble se moquer de toute une époque - la nôtre." "Le mensonge de la pastèque" : "Elle est trop belle. Etrange. Est-ce qu'on la boit, est-ce qu'on la mange ? Elle est comme une fausse piste du désir. (...) La mangue et la goyave ont goût de mangue et de goyave. La pastèque n'a goût de rien et c'est donc elle qu'on désire en vain. Elle est la perfection de son mensonge (...) Elle n'est qu'un mirage de la chaleur et de l'été."
Lu par:Anne Botte
Durée:1h. 14min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:23388
Résumé: Philippe Delerm décrit comme personne les instants familiers à chacun de nous, et restitue, presque intacts, nos petits agacements, nos plaisirs furtifs, les grands moments de solitude et les émerveillements... Au fil de ces petites phrases toutes faites, faussement anodines, il démasque les sentiments enfouis et met à nu l'émotion.
Durée:1h. 32min.
Genre littéraire:Contes et légendes
Numéro du livre:71093
Résumé: Savoureuse comme une tourte aux mûres tiède et un verre de bière rousse, confortable comme un fauteuil au coin du feu, mais aussi tiraillée de questions essentielles, la vie de Mister Mouse hésite entre l'âtre et le néant. Lui qui a tout pour être heureux dans le Buisson-aux-mûres où il niche avec Emily et leurs deux souriceaux, écrit pourtant, attend le facteur, guette fébrilement son reflet dans les glaces et accorde beaucoup d'importance aux jugements que portent sur lui les autres souris de Brambly Town. Mister Mouse rêverait-il d'autre chose ?
Durée:45min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:11556
Résumé: " Les premières fois, Monsieur Spitzweg s'est contenté d'un petit quart d'heure de footing - juste le temps que les poumons lui brûlent. [...] Deux cent cinquante mètres de tour, c'était bien assez pour un effort mal réparti qui ne lui procura d'abord aucun plaisir. Mais, au bout de quelques semaines, il apprit à reculer un premier seuil de fatigue, puis se surprit compter le nombre de tours, à les convertir en mètres. Douze tours en quinze minutes, oui cela faisait bien du douze kilomètres à l'heure - rien d'affolant, mais déjà une allure moins dérisoire. Le virus était pris. Arnold Spitzweg avait entrepris son combat contre le temps. " Dans cette nouvelle inédite, Philippe Delerm retrouve le personnage qui était déjà au cœur d' Il avait plu tout le dimanche.
Durée:3h. 33min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:73102
Résumé: Un recueil de textes courts dédiés à New York, une ville dans laquelle l'auteur n'est jamais allé.
Durée:5h. 49min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:22064
Résumé: Grez-sur-Loing, 1884. Autour de Carl Larsson vit une petite communauté de peintres scandinaves venus teste la lumière tant vantée par ceux que l'on nomme, encore par dérision, les « impressionnistes ». August Strindberg est là avec sa famille, Soren Kroyer les rejoint bientôt. Pour Ulrick Tercier, ils représentent la joie de vivre, la passion. Aussi, quand le groupe se délite, décide-t-il de parti pour Skagen, au Danemark, avec Soren Kroyer. Il est dès lors partagé entre différents lieux - Skageng Grez et Sundborn, en Suède - qui incarnent autant de conceptions de l'art et de la vie. Sundborn ou les jours de lumière, qui met en scène des personnages réels et romanesques, décrit par petites touches, légères et sensibles, les heurts, les cassures, les instants parfaits qui font une vie. Évocation de l'impossible conciliation entre l'absolu de l'art et les nécessaires compromissions de l'existence, ce roman empreint de nostalgie est également une célébration de la joie de vivre, et de peindre.